Sarah Ferguson, la duchesse d’York, la petite roturière au passé douteux qui avait épousé le prince Andrew à l’été 1886 pour ensuite être répudiée le jour où les journaux ont publié des photos d’elle, seins nus en se faisant sucer les orteils par un homme d’affaires, se plaint.
Sarah n’a jamais eu froid aux yeux ni la langue dans sa poche, mais à 49 ans, elle se plaint de ne pas rencontrer l’âme sœur et trouve que les hommes de son âge, susceptibles de la rendre heureuse, ne sont pas du tout intéressés à elle.
Interviewée par The Sunday Telegraph, Fergie a confié qu'elle avait bien du mal à trouver l'âme soeur. "Soit les hommes me trouvent trop résolue, soit trop proche du Prince Andrew", déclare-t-elle. Ce qui ne l'empêche pas de chercher encore celui qui pourra la suivre "sur la planète Sarah". Et elle le rappelle clairement : non, elle ne regrette pas d'avoir épousé Andrew, dont elle s'est séparée en 1996, même si elle n'agirait pas tout à fait de la même manière à présent.
Sarah est comme toutes les femmes de sa génération. La pauvre, si elle croyait que son titre de duchesse allait changer le cours des choses, elle s’est mis un doigt ans l’œil. Elle aura beau visiter tous les chirurgiens esthétiques du monde et se faire lifter régulièrement, suivre la diète des Weight Watchers, avoir de nouveaux implants mammaires, teindre ses cheveux, chanter son dentier, se faire draper le ventre et s’abonner à un gym, il n’y a rien à faire devant l’inévitable. Elle frise la cinquantaine et constate la triste réalité. Les hommes de son âge ne sont ni impressionnés par son titre, son rang, son background ou son ancienne vie. Ceux qui seraient susceptibles de l’aimer n’ont que faire d’elle. Ils recherchent tous une jeune poulette de vingt ans qui leur donnera une satisfaction garantie sans pour autant avoir beaucoup d’argent à remettre.
Contrairement à ce qu’on pense, c’est pas toujours la politique des bas prix qui prime, mais bien celle de la jeunesse.
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