A moins de 15 jours de la désignation de la Ville Française pour les JO d'hiver 2018, Nice semble perdre le moral.
Christian Estrosi comptait sur les JO pour rendre la cote à la Côte. Elle est loin l'époque bénie du sea, sex and sun...
Maintenant, c'est l'ubanisme de la Côte qui est contesté, des relations qui inquiètent, des arrivées qui font jaser à l'exemple de la place nouvelle des Russes.
Les JO étaient censés remettre du "blanc" sur la French Riviera, une forme de "nouvelle virginité".
Ces derniers jours, le moral est en berne. La mobilisation est faible. La liesse populaire fait défaut. Les décideurs économiques doutent.
Les politiques se détachent cherchant à personnaliser l'opération autour de Christian Estrosi.
Bref, l'ambiance n'est pas à la gagne.
Est-ce un signe annonciateur de la remise en cause du statut de favori longtemps prêté à Nice ?