Par Frédéric d'Agay.
Il est de bon ton de dire dans l’édition à Paris que le livre se porte mal, que les retours des libraires de janvier ont été très importants, que le beau livre est atteint, que La Martinière prépare un énorme plan social…et pourtant le quinzième Salon International de l’Edition et du livre de Casablanca (SIEL) vient de se dérouler dans une atmosphère de fête populaire. Certes les problèmes sont là et pour le Maroc surtout celui des prix des livres : beaucoup d’éditeurs ou de libraires représentant des éditeurs étrangers proposent des livres à prix spécial sur lesquels se ruent les acheteurs...Lire la suite.