Notre époque est magnifique. Mais il faut savoir s’accrocher.
2009 est annoncée, voire programmée comme une année sordide. Sordide pour l’emploi, pour les affaires, pour l’économie et - par extension - pour l’ensemble du monde connu (lire ici le monde occidental dans lequel nous vivons).
Moi, optimisme oblige, je vois plutôt 2009 comme une année de grand ménage. Une de ces années, comme un beau dimanche après-midi de printemps, où les astres s’alignent pour passer un grand coup de balai. On ouvre les fenêtres, on respire un grand coup et hop! on nettoie. On nettoie Bush et le néo-libéralisme, on nettoie les banques et leur arrogance capitaliste, on nettoie les vieux modèles économiques et leur pensée bancale. Et on essaye de redonner un air frais à tout ça, en changeant les bibelots, en faisant entrer la lumière.
Oh, bien sûr, on n’arrivera pas à tout nettoyer (optimiste ne veut pas dire irréaliste), à tout recommencer à zéro. Mais quand même… Essayons.
C’est pour ça que je dis que notre époque est magnifique… quelque chose est en train de se passer, et je sens que nous avons (enfin!) notre mot à dire sur ses nouvelles orientations. Le monde est en quête de nouvelles idées, de nouvelles valeurs, de nouveaux courants. À nous maintenant de les lui proposer.
Toutes les épées de Damoclès qui sont au-dessus de nos têtes (effondrement boursier, fragilité de l’écosystème, chômage généralisé et j’en passe sûrement…) sont autant d’appels à l’une des principales qualités de l’Homme : l’imagination. Alors vite… Repensons!
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