Sa femme lui a ordonné de partir, sa fille ne veut plus lui parler, l’université lui a interdit d’enseigner, il a décidé de partir.
A son arrivé à Paris, il tombe malade, trouve une chambre de bonne minable.
Il se trouve dans les quartiers de Paris où vivent les immigrés, dont certains travaillent clandestinement, meurent assassinés. Il trouve un travail mais il ne doit poser aucune question.
Il rencontre une femme, Margit, 58 ans, lors d’une soirée passée chez une compatriote. Ils entament une liaison selon ses règles à elle.
De mauvaises rencontres, des meurtres, menaces, intimidations, interrogations, fausses identités, mirages.
Mon avis : les moralismes américain et français sont-ils si différents en matière de couple ? On a l’impression que la franchise n’a lieu qu’aux Etats-Unis lorsqu’il y a adultère.
Une femme morte ou pas, un rêve éveillé. Un peu tiré par les cheveux, pas le meilleur de Kennedy. Mais c’est vrai que c’est un roman et l’auteur écrit ce qu’il veut, comme le dit le personnage, histoire vraie, histoire fausse, le lecteur adhère ou pas.