Le sujet des causes qui mobilisent est très vaste et j'avoue être embarrassée depuis quelques jours à devoir choisir celle qui me touche le plus et dont je voudrais partager les problématiques...
Une cause, on s'en empare, on la fait sienne, et une fois qu'on se l'est bien appropriée parce qu'elle répond à un élan du coeur et à un écho de l'intelligence qui refuse et qui imagine le mieux, alors on y consacre son temps, son énergie, sa vie, chacun à la mesure de ce qu'il peut.
Maladies, sans-abris, actions humanitaires, projets de développement économiques, ... le terrain est vaste.
Vaste mais souvent aphone... Parce que non relayé, parce que générateur de peu d'audience. Une cause doit avoir sa journée et puis... on n'en parle plus.
La cause que je souhaite donc défendre aujourd'hui sur cette page est celle du discours de vérité et de transparence... En période de crise on n'est plus que jamais dans l'attente de solutions miracles, d'hommes providentiels, de promesses et d'espoirs, particulièrement les plus touchés, des plus démunis à ceux qui cherchent à sauver leur entreprise... et tout peut passer, du plus gros mensonge au plus sournois. Les discours de culpabilisation pour désigner des responsables qui en réalité subissent tout autant que les autres (les personnes d'origine étrangère, les chômeurs de longue durée, les parents homosexuels, ...), les recommandations en terme d'austérité ou de frugalité qui deviennent des justifications pour couper les aides des plus démunis afin de les fragiliser davantage et de créer un système d'inéquité...A qui doit revenir ce discours de vérité?
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