Le gouvernement colombien a admis mercredi la responsabilité de l’Etat dans le massacre perpétré dans le nord-ouest du pays par des paramilitaires d’extrême droite, qui ont tué 43 personnes, dont trois enfants, en 1990, sans jamais être condamnés.”Au nom de l’Etat colombien, j’admet devant vous, familles de victimes et devant la communauté internationale et nationale, la responsabilité de l’Etat”, a déclaré le ministre de la Défense Juan-Manuel Santos lors d’une cérémonie au ministère des Affaires étrangères, à Bogota.
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