Une entreprise de matériaux de construction, la première en Martinique, s’est mise mercredi après-midi en “lockout”, autrement dit une fermeture volontaire entraînant une suspension des contrats de travail des salariés, ont indiqué le Medef local et l’entrepreneur.”On a réuni les délégués du personnel cet après-midi et j’ai annoncé aux personnels la procédure”, a déclaré à l’AFP Olivier Despointes, dirigeant de BATIR, qui compte 45 salariés “tous non grévistes”.
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