Statut du "faux-parent" : les intérêts fondamentaux de l’enfant doivent primer sur les revendications communautaires
Publié le 04 mars 2009 par JeunenormandieCommuniqué de Convergences nationales
http://www.convergences-nationales.fr
04/03/2009
« Convergences nationales » condamne fermement l’avant-projet de loi sur les « droits des beaux-parents » qui n’est en fait qu’un moyen détourné pour placer des enfants sous la responsabilité officielle de couples homosexuels. Ce serait donc un pas décisif vers l’homoparentalité, de l’aveu même du lobby « gay ».
En réalité, un enfant naît d’un père et d’une mère, et même si la vie parfois les sépare, ces référents parentaux, masculin et féminin, sont nécessaires à son équilibre et à la construction de sa personnalité.
Déléguer ce rôle essentiel et cette autorité naturelle ouvrirait la voie à toutes sortes de dérives extrêmement préjudiciables à l’enfant. Il ne s’agit pas là d’une position idéologique ou confessionnelle mais de la simple application de la loi naturelle et du plus élémentaire bon sens.
Cela correspond d’ailleurs à la volonté et à la façon de vivre d’une écrasante majorité de Françaises et de Français. Les revendications d’une minorité, même bruyante, ne doivent pas mettre en péril l’équilibre de la famille, cellule de base de la société. C’est si vrai que, une fois n’est pas coutume, des personnalités politiques de la majorité, ont pris position contre ce projet insupportable.…