Suite à l'annonce des prochaines suppressions de postes dans l'Education nationale, le sénateur Robert Tropeano a interrogé le ministre: Au delà du chiffre, il est fort regrettable de constater que la politique mise en œuvre dans ce domaine, ne tient pas compte de la réalité du système éducatif et des besoins exprimés par les personnels des établissements scolaires. Réduire les inégalités, lutter contre l’échec scolaire nécessitent des moyens adaptés. Enseignants, conseillers d’orientation, médecins scolaires, personnels d’encadrement, ces acteurs de la vie éducative doivent avoir les moyens d’exercer pleinement leur mission, d’autant que leurs tâches ont considérablement évoluées ces dernières années. Aussi, il lui demande dans quelle mesure le gouvernement entend mettre en œuvre une politique ambitieuse en matière d’éducation tout en réduisant de manière conséquente, les moyens. Voir la question du 12 juillet (http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ070700815 idtable=SEQ070700815 rch=gs rqg=dqrnstpa _c=%E9ducation al=true)la question de Robert Tropeano rejoint celle Marcel Rainaud, qui lui aussi s'interroge sur les moyens affectés aux études du soir en direction des orphelins de 16h (voir mon billet du 20/10/2006 (http://www.viescolaire.org/welcome/index.php?option=com_content task=view id=510 Itemid=203)):