Jeune Normandie ne demande qu'une chose : qu'on leur obtienne des billets, évidemment, mais uniquement des billets d'avion pour retourner dans leur pays, c'est à dire le Mali.
A l'heure de la crise globale que nous connaissons, beaucoup de chômeurs normands souhaiteraient également pouvoir travailler dans les abattoirs , et faire vivre leurs familles. Ils sont, au grand bonheur du patronnat, mis en concurrence avec une main d'oeuvre surexploitée, et peu coûteuse, qui évidemment, leur passe devant.
Loin de la propagande sentimentaliste instrumentalisée par les associations de gauche, toujours excellentes dans leur rôle de pleurnicheuses patentées, nous exigeons de la justice d'être rationnelle, et , comme son nom l'indique, juste, et cela surtout envers nos enfants, et nos petits enfants, qui paieront il est certain, la politique laxiste de ces dernières années en matière d'immigration.
Plus que jamais, les militants de Jeune Normandie seront présent pour s'opposer à l'immigration clandestine, afin, d'une part, de préserver notre identité et de protéger nos emplois et l'avenir de nos enfants d'un désastre social, économique, et culturel, et d'autre part, afin de stopper l'exploitation dont sont victimes les populations du tiers monde, appatées par un gain qui n'existe plus, manipulées par un grand patronnat international…