Malgré les affirmations de McLaren sur l'égalité totale entre ses pilotes cette année, une rupture de ce principe pourrait avoir contribué à l'éclatement du pneu de Lewis Hamilton éclate en Turquie dimanche dernier.
Depuis l'incident du GP de Hongrie, Fernando Alonso a menacé l'équiper en disant " ou c'est Hamilton ou c'est moi". La revue allemande 'Bild' informe que McLaren a donné toute liberté à l'Espagnol de dissimuler ou non les réglages de sa monoplace pour le reste de la saison 2007.
En juin, le double champion du monde a avoué qu'une des choses qui "le dérangeait" chez McLaren cette année était "le partage de la télémétrie".
La revue assure que comme Hamilton n'a pas pu imiter les réglages de son coéquipier à Istanbul, cela serait la cause, la plus probable, de la crevaison du britannique lors de la course.
Alonso aurait réglé sa voiture d'une certaine manière à ne pas trop forcer sur la partie frontale droite de sa monoplace en Turquie, car il y avait beaucoup de courbes à gauche, incluant l'enchaînement de huit virages qui nuit beaucoup à la monoplace.
Les examens de Bridgestone à Tokyo ont écarté une crevaison par corps étranger, et le chef du développement, Hirohide Hamashima, a expliqué qu'une "pression supplémentaire" - peut-être avec des réglages trop agressifs, a été appliquée causant l'éclatement. Pourtant, Alonso avait indiqué lors des déclarations de fin de course, que ses ingénieurs lui avaient précisé par radio de faire attention à ses pneumatiques.
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