Au Japon, ce n’est pas du tout comme chez nous : les salariés sont accros à leurs jobs et c’est très difficile de les empêcher de faire des heures sup (qui ne sont d’ailleurs pas considérées comme des heures sup). L’état (voir billet sur Canon renvoie ses salariés chez eux pour faire des bébés) et les entreprises cherchent des solutions : amendes, sanctions, contrôles inopinés…
C’est dans ce contexte que la société Alsok a mis au point un robot capable de ramener les jobaddicts à la maison. Chaque soir, l’engin prend tout seul l’ascenseur, fait le tour des bureaux et demande aux retardataires de quitter les lieux, sous peine de transmettre leurs noms aux RH le lendemain.
Le magazine Capital commente cette info en rigolant sur le fait que « ce type de robot ne risque pas d’être vendu chez nous, surtout dans la fonction publique… » sauf si, au lieu de fliquer les forcenés du boulot, on demande au robot d’aller chercher les salariés à la machine à café ! Moins rigolo déjà hein ?