Le poisson est la principale source de mercure à laquelle nous sommes exposés. Ce métal est présent naturellement dans l’environnement, mais les rejets causés par l’industrialisation rendent la consommation de certains poissons moins sécuritaire pour la santé. Ce sont les poissons prédateurs qui présentent des taux élevés de mercure. Les autres espèces de poisson, tel le hareng, auraient des concentrations de mercure inférieures à la norme canadienne de 0,5ppm. Ils peuvent donc être consommés sans danger pour la santé.
La pêche au hareng est considérée comme l’une des plus durables d’un point de vue environnemental. La ressource est abondante et ne montre aucun signe d’épuisement. De plus, les engins utilisés pour cette pêche ne causent aucun dommage aux fonds marins et, par conséquent, aux habitats des autres espèces. Enfin, les prises accessoires semblent peu importantes, bien que des mammifères marins (dauphin, phoque) soient parfois accidentellement pris dans les filets.
Les harengs marinés en salade sont la base d'un plat traditionnel de l’Europe du Nord. On les marie avec des dés de betteraves, de pommes de terre cuites et de pommes acides, des cornichons et des oignons dans le vinaigre, le tout assaisonné d’une sauce à base de yogourt et de mayonnaise. On peut aussi mélanger dés de betterave, tranches de pommes, carottes et chou râpés, harengs et sauce au yogourt assaisonnée de fines lamelles de gingembre frais et de fines herbes selon le goût de chacun.
Pour en savoir plus, on peut consulter le site passeportsante.net