Jean-Louis Borloo a expliqué que le développement des biocarburants ne devait pas se faire "au détriment de la capacité agricole mondiale", tout en soulignant les risques de déforestation. Il a également tenu à mettre en garde contre les dérives liées à la production des biocarburants et "l'emballement de mode". Selon lui, à son terme, l'incorporation n'atteindra pas 30 % des carburants.