
Évoquant l'humour présent dans les grands classiques, Hugo, Baudelaire, il évoque également Jacques Roubaud, que nous avions découvert dans nos colonnes avec Parc Sauvage. Et dans un éclat d'enthousiasme : « Et Boileau ! Les Satires ! C'est à pisser, pardonnez-moi. »
Alors rire et culture, compatible, alors que la polémique avait été déclenchée pour les Césars avec les Ch'tis de Dany Boon ? Denis n'a pas spécialement apprécié le film : « Ce qu'il manque aux “Ch'tis” ? Peut-être bien une once de poésie... » Mais pour ce qui est de la poésie, « menacée et indestructible », elle fait partie pleinement de la vie littéraire. Et « l'important, c'est de lire les grands poètes, de les faire connaître, de les publier encore, et surtout d'en préserver la mémoire. Parce que la poésie, c'est d'abord de la littérature. »