Je racontais, sur le blog bistro, mon aventure dans le 12ème dans cette startup de copains. J’avais en fait droit à une présentation de Pearltrees dont au sujet duquel je ne pouvais pas aller à la soirée inaugurale, racontée par Eric. Il ne me reste plus qu’à vous dire ce qu’est Pearltrees ! Tâche ardue.
Imaginez que je me prenne pour un éditeur et veuille faire un journal, sur le web, avec les aventures de La Comète dans les blogs. Différents volets sont à traiter : les visites des copains, les réunions de blogueurs politiques, les réunions politiques qui s’y tiennent, les conneries de mes copains, …
Imaginez que je veuille faire partager ce journal avec les lecteurs, sans leur imposer une liste de lien, en leur permettant de le reprendre pour faire leurs propres « éditions » puisque que c’est ce dont il s’agit !
Avec Pearltrees, je le fais facilement.
J’ai eu droit à une présentation par les tauliers de Pearltrees, ça aide à comprendre les manipulations. Jeudi et vendredi, j’ai bricolé un peu avec, pour découvrir le côté « réseau social » (on peut avoir des potes, follower des machins, …). Là, à 10h45, je me suis dit : « Mon gars, il est temps de créer unjournal, un Pearltrees de la Comète ». J’ai cliqué pour lancer le bousin enregistreur. J’ai sorti google. J’ai cherché « Blog Comète Bicêtre », j’ai chargé une vingtaine de pages. J’ai arrêté l’enregistreur et j’ai commencé à organiser mon journal. A 11h05, j’avais fini. Pour une première utilisation, ce n’est pas mal ! En outre, soyez indulgent sur le contenu : j’ai fait ça uniquement pour que vous puissiez comprendre le but de la chose !
Imaginez ensuite les possibilités !
Vous n’avez rien compris. C’est normal. Je vais vous donner le lien sur mon Pearltrees « Balade à la Comète ». Vous aurez, en principe, en bas à gauche des boutons comme sur l’illustration de ce billet. Il y aura « play » à la place de « map ». Cliquez sur « Play » et ensuite, pour « naviguer » sur le triangle orienté à droite.
Vous êtes prêts ?Cliquez et lisez le journal « Balade à la Comète ».