Pauvre idiot, sans le sou et sans la chance, tu espères toujours boire l'eau de la source, tu ne comprends pas ce qu'on attend de toi. Les sens te plongent dans un délicat soupir, étrangement long. Dans la vallée, les murs sont chiens et veillent à la croissance du peuple. Elle est partie, tu te dis bon vent, puis tu te repens. Tu es celui que tu n'es pas. Tu jettes, tu pousses, tu t'embarques dans un périple sans éclat. Dans cette pièce aux relents de printemps, tu achètes cash, tu veux te cacher. Quand l'heure viendra, elle passera. Le tour du monde encercle mon esprit, tous les rêves sont absurdes, je déjeune à côté de vous, je n'ose pas vous importuner.Je vois un royaume sans porte, je frappe et je n'arrive pas à délier les fils qui mentent sur toute leur longueur.