A l’Académie des non-lecteurs, mes plates excuses pour cette semaine sans post, sans billet, vous laissant à l’abandon, mes roudoudous. Entre moultes gueules de bois et moultes heures au travail [non rémunéré, je suis trop bonne] ou pire (mieux!) gueules de bois directement au travail, j’ai eu très peu de temps pour vous abreuver en synonymes et homonymes tout ça tout ça. Je m’en excuse, mes chers non-lecteurs.
Rating: 3 out of 5 stars
Bon bref. Alors, mes p’tits gôrs! Cet épisode! Pour les gueudins (ah ah, parlons mal, parlons bien) de Six Feet Under, cet épisode de How I Met Your Mother était plutôt très très très attendu. Il signait le retour de Frances Conroy sur petit écran.
Frances qui?
Ruth Fisher, si vous préférez, la manman Fisher de 2001 à 2005. Une grande et magnifique actrice, l’une des plus efficaces des années 2000 qui mérite une reconnaissance pleine et honnête. Bref, une Superbe, comme je les appelle.
Bref bref bref. Que donc en penser? Mmm? Comment que cela ce n’est pas français? Et alors? POSONS-NOUS LES VRAIES QUESTIONS!
Synopsis efficace. Mais j’ai déjà dit que j’en ai raz-le-bol de cette histoire “tournons autour du pot” entre Barney et Robin. Franchement, personne n’ose le dire, mais ça rappelle franchement l’histoire bidon entre Joey et Rachel, à l’époque, et ça, c’était naze. Attention de pas trop glisser du mauvais côté, mes chatons. Non, pas vous, je parle aux scénaristes.
L’histoire, oh, elle n’apporte pas vraiment de surprises, tout avait été révélé avec l’arrivée sur le plateau de Frances “beautiful” Conroy. Oui, je réitère, j’adore Frances Conroy. Son talent du jeu en demi teinte, de dire le groupe nominal “sale pute dégueulasse” avec autant de douceur, ça ne tient qu’à elle.
Cela dit, elle reste plutôt d’une efficacité bon enfant tout à fait revancharde par rapport à des épisodes bien plus inutiles cette saison. Mais oui, j’ai pardonné à Stella de nous avoir bouffé le début de saison.
Allez, on a tous une blague favorite par épisode. Si certains non-lecteurs me suivent depuis un moment, ils ne seront pas étonnés de connaître la mienne. Voyez, c’est un amateur, assis là-bas. Traitez-moi de fou, mais les enfants étaient bien meilleurs acteurs dans les années 80.
Oui, oui, je fais partie des crétins qui ne se sont jamais vraiment remis du départ de Docteur Doogie vers l’âge adulte… Hum, passons.
Enfin bref, pour résumer, bon épisode. Mais un épisode sur Barney, comment ça peut se transformer en Mauvais ? Vous montez pas le bourichon, ça ne peut. Sauf quand ça conclue sur un vieux cliffbandemouhanger sur [musique de soap] Barney qui promet à sa mère de réussir à avoir le courage de ne pas gâcher l’amour qu’il a pour une personne [/musique de soap]. Robin aimable avec le petit gosse? Etonnant, je dois dire. Bref, les autres acteurs ne servent pas à grand chose si ce n’est à illustrer l’étonnement qu’on a à voir que Barney peut toujours faire pire en conneries. Le reste…
En résumé, un épisode simple mais plutôt efficace, avec un Neil Patrick Harris toujours aussi à la hauteur et une Frances Conroy qui illumine l’écran, comme d’habitude, avec ses paroles de chiennasse dans un corps d’ange. J’adore.
Allez, on fini sur un clin d’oeil comme je les adore. Barney et son ‘look at me” fingers.