La gendarmerie a entamé une série de 800 nouveaux prélèvements ADN depuis un mois et demi dans le cadre de l’affaire Jonathan, 11 ans, enlevé et assassiné en 2004 en Loire-Atlantique dans des conditions non élucidées, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie.Ces prélèvements sont réalisés sur les personnes ayant résidé dans le centre de vacances où avait été enlevé l’enfant et devraient s’achever “bientôt”, a-t-on précisé de même source.
Source flux