« La reconstruction est extrêmement importante pour aider la population à reprendre pied. Mais elle a peu de chances de succès sans la perspective d’une paix durable. L’action humanitaire ne peut pas remplacer un processus de paix honnête et courageux impliquant tous les États, les autorités politiques et les groupes armés organisés qui peuvent influer sur la situation. »
Sur le terrain, l’action se poursuit mais l’approvisionnement demeure insuffisant sans l’ouverture de tous les points de passage. Aujourd’hui, environ 140 camions parviennent à entrer quotidiennement dans le territoire, contre 400 avant juin 2007.
PS : on peut réécouter cette interview datée du 6 janvier dernier et revoir cette vidéo.
ééé
ééé