Agrandir l'image
Britney Spears a droit à un répit. L’ordre de justice intimant l'ordre à Sam Lutfi, son ancien manager, de ne pas approcher d’elle, a été maintenu.
Britney Spears va enfin pouvoir dormir tranquille. Son père, Jamie, avait saisi la Cour de Los Angeles pour qu’elle reconduise l’interdiction contre son ancien manager, Sam Lutfi, d’approcher la chanteuse. Grâce aux témoignages de la coiffeuse de Britney Spears, Roberta Romero, qui recevait les SMS de Sam Lutfi pour les transmettre à la star, la Cour a découvert que Britney Spears avait demandé à madame Romero d’envoyer un SMS à Sam Lutfi lui disant qu’elle ne voulait plus qu’il la contacte. Ce qu’il n’a évidemment pas fait.
Le témoignage de l’agent de sécurité en chef de Britney Spears, Itamar Gelbman, a lui aussi contribué à la décision de la justice. «Elle voulait que je fasse plus que la ronde de sécurité autour de sa maison, elle voulait être sûre que tout était fermé. Elle ne pouvait pas s’endormir à cause des SMS de Sam. Elle m’a demandé de le faire arrêter tout ça. Elle avait peur», confie le garde du corps.
La Cour de Los Angeles a donc décidé mercredi 25 février de prolonger l’ordre intimant à Sam Lutfi de ne pas approcher de la chanteuse jusqu’au 18 mars prochain. Après cela, il pourra être étendu encore jusqu’au 1er avril et c’est tout. Mais pour l’instant, Britney Spears est tranquille, d'autant que son ex, le paparazzi Adnan Ghalib, est sujet à un ordre du même type.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble