Aucun obstacle ne semble insurmontable selon le magazine, que cela soit d'un point de vue légal ou concurrentiel, sauf peut-être la volonté de Martin Bouygues (43% du capital de TF1) de ne pas revendre ses parts... « Il demeure très attaché au métier de la télévision », confirme Nonce Paolini, PDG de TF1.
En tout cas, ce schéma ne semble pas convaincre. De la « science-fiction », nous répond t-on aussi bien à TF1 qu'à Canal+, « faibles probabilités » nous indiquent pour leur part plusieurs analystes financiers qui précisent que cette stratégie serait mal perçue par les marchés, alors que le groupe Canal+ est peu exposé au marché publicitaire, contrairement à TF1.