Cela était prévisible et souhaité par le gouvernement. Ainsi va-t-il pouvoir justifier le recours à la force, à l’état d’urgence. Et peut être à la violence par des tirs sur les manifestants.
Nous ne pouvons pas continuer à nous éloigner de ce conflit social et sociétal comme si cela ne nous concernait pas. La Guadeloupe est en avance !
Aujourd’hui, la frilosité des mouvements syndicaux, politiques et associatifs à appuyer les revendications du LKP en métropole, depuis le début, et le retard pris, risque de se payer dans le sang.
Il est temps de joindre nos efforts à ceux des Guadeloupéens et Martiniquais. Temps de reprendre leurs idées d’une augmentation de 200 € pour tous, d’un changement de vie et de perspectives.
Nous ne pouvons pas rester les bras croisés ...