Une jeune femme, qui passait en voiture au moment où le préfet de Corse Claude Erignac a été tué par balles en 1998 à Ajaccio, a assuré jeudi devant la cour d’assises spéciale de Paris qu’Yvan Colonna n’était pas le tireur dont elle n’oubliera jamais “le visage”.”On pourra me présenter l’assassin dans dix ans. Si c’est lui, je le reconnaîtrai” mais “je suis sûre et certaine: ce n’est pas M. Colonna que j’ai vu ce soir-là”, a certifié Marie-Ange Contart lors du procès en appel du berger corse, condamné en première instance à la perpétuité en tant que tueur du préfet Erignac.
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