Ulcérée de ne pas avoir pu récupérer deux bronzes chinois vendus à Paris lors de la dispersion de la collection Saint Laurent-Bergé, la Chine s’en est prise jeudi à la maison d’enchères Christie’s, qu’elle a accusée d’avoir déjà vendu des oeuvres chinoises pillées.Elle a également annoncé un renforcement des contrôles sur les achats de la maison d’enchères en Chine après la vente des bronzes chinois du XVIIIe siècle mercredi, au dernier jour de la dispersion de la collection d’art réunie par le couturier décédé Yves Saint Laurent et l’homme d’affaires Pierre Bergé.
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