Mercredi puis jeudi, deux témoins de l’assassinat du préfet de Corse Claude Erignac ont décrit avec précision la scène de ce crime commis à Ajaccio le 6 février 1998 et assuré avec force qu’ils ne reconnaissaient pas Yvan Colonna comme le tueur.”On pourra me présenter l’assassin dans dix ans. Si c’est lui, je le reconnaîtrai”, a assuré Marie-Ange Contart devant la cour d’assises spéciale de Paris, qui rejuge en appel le berger corse, condamné en 2007 à la perpétuité en tant qu’assassin du préfet Erignac.
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