Quelle différence, en effet, entre le livre écartelé à la page où votre lecture s'est achevée, que vous avez rustiquement posé par terre avant de sombrer dans les bras de Morphée ?
Où sont la douceur, l'attention, les petites manières prévenantes, quand on clôt doucement son livre et que l'on glisse amoureusement une fine feuille de feutrine, pour ne pas abîmer les pages ni plier sa tranche ?
Ici, pendu comme un vulgaire maillot de bain mis à sécher après une sortie à la plage, voilà bien une sinistre fin pour un livre. Pendu par la tranche... Quelle honte !
Et pour découvrir les autres horreurs de son concepteur, on se rendra par ici.