Il y a de ces éclaircies qui inspirent confiance.
J'entrevois les pleins et les déliés de mes desseins encore indécis.
Je sens le souffle fébrile sur les pages pas tout à fait vierges de l'être que j'écris.
Alors je contemple avec appréhension le sablier du temps qui reste, partagé entre le chant envoûtant des possibles et l'éternel recommencement de la suite.
Et puis cette phrase catégorique d'Aragon résonne immanquablement :
"Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard"
Lorsque je l'évoque chez la psy, elle me demande "Alors on ne capitalise pas ?"
Bah au mieux, je crois qu'on gribouille... Difficile donc de se relire.
barbara - il n'y a pas d'amour heureux