Il est intéressant de constater que la majorité des film outre-atlantique sont cuits dans le même moule, quel que soit leur genre, trame, personnages et ambiance. Prenons la recette bien connue des “choses qui n’arrivent que dans le cinéma américain” et appliquons-la à… hum au hasard… le dernier Indiana Jones (vraiment au pif hein !), vous allez voir c’est saisissant de banalité.
Encore et toujours la même rengaine chez les ricains
20 vérités plus ou moins bonnes à dire
- Le déchiffrage d’une carte se fait après que le héros a été baladé d’un continent à un autre (de préférence ficelé et bâillonné " onclick="grin(" />).
- La majorité des gens gardent un album rempli de coupures de journaux, particulièrement si un membre de leur famille est pris en otage (histoire de bien visualiser sa tête à chaque période de sa vie).
- Si le méchant est militaire, c’est un russe (“Da comarade !”).
- Pour se faire passer pour un officier russe, il est inutile de savoir parler la langue, seul l’accent compte (“Vu allez môurir professor Jones !”).
- Le héros se déplace aux 4 coins du monde en un claquement de doigts, sans subir les effets du décalage horaire.
- Si le méchant est une femme (russe donc), elle a forcément un look cuir (ouh la jolie guêpière !).
- Un homme visé par 20 adversaires a plus de chances de s’en sortir que 20 hommes visés par un seul.
- Le héros n’a jamais de démêlés avec la Justice bien qu’il laisse souvent les villes qu’il traverse à feu et à sang (un carnage, il n’y a que ça de vrai).
- TOUS les agents de la CIA ont des lunettes noires, un costume noir, des chaussures noires et une chemise blanche.
- Pour conduire sur une route droite comme un “I”, il faut obligatoirement zigzaguer vigoureusement tout du long.
- Le héros a toujours des problèmes avec sa descendance (fils ou fille), mais bien heureusement les événements du films leur permettent de faire la paix et de se réconcilier à la fin (en 2 heures de film, c’est plus fort que du roquefort
" onclick="grin(" /> !).- Si le héros se retrouve en infériorité numérique dans un combat à mains nues, ses ennemis attendent de l’attaquer un par un tout en soutenant avec ardeur leur pauvre copain en train de se faire défoncer la tronche jusqu’à ce qu’il finisse par terre.
- Une minuscule allumette suffit à éclairer une grotte de la taille du stade de France (“Oh mais que vois-je à 150 mètres ?!? Un pétroglyphe précolombien de toute bôôôôtééé !”).
- Une fois appliqué, le rouge à lèvres ne part en aucune circonstance, pas même après avoir dévalé 3 trombes d’eau genre chutes du Niagara
" onclick="grin(" />.- Les voitures qui tombent dans le vide retombent toujours sur leurs roues si le héros se trouve à l’intérieur, explosent s’il s’agit de la voiture des poursuivants.
- Les cimetières ne se visitent que la nuit, de préférence au cours de la pleine lune pour bien éclairer les tombes.
- Toutes les bombes sont connectées à un chronomètre à gros affichage rouge qui clignote. Bip… Bip… Bip… BIIIIIIIIIIIIIP !!!
- Les tribus prémayas gardiennes de la citadelle perdue ont une dentition parfaite à faire pâlir Georges Clooney.
- Un camion (même légèrement) accidenté finit toujours en flammes.
- Le dernier méchant du film (boss de fin) ne meure jamais d’une simple balle de pistolet
" onclick="grin(" />. Il faut au minimum une désintégration pour en venir à bout.Faites l’expérience avec la plupart des films américains et vous arriverez à peu de choses près à la même liste. Pour autant ce n’est pas pour ça que nous ne les aimons pas
" onclick="grin(" />. A bon entendeur salut.Hollywoodement, Flo.
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