Comment peut-on écrire dans un journal parisien de référence ceci ?
Les dix-huit universités que compte le Québec, toutes publiques, "chassent" donc dans les pays francophones (France, Maroc, Tunisie, et bientôt Belgique et Suisse) mais aussi au-delà, notamment au Brésil.
La moitié des universités québécoises sont privées, issues de l'enseignement confessionnel, à commencer par la première d'entre toutes, celle de Laval. Qu'elles répondent aux programmes publics et délivrent des diplômes reconnus nationalement ou qu'elles vivent en grande partie sur des fonds publics, c'est un fait, mais les quelques universités privées de France (Angers, Lille ou les facultés de Paris) le font aussi et ne sont pas devenues d'un coup publiques ! Je veux bien qu'elles mènent exactement les mêmes missions que…