Tant Valentin qu'a la fin il se fâne
Publié le 22 février 2009 par Agegout
Tout passe tout lasse, tout fout le camp, et tout à coup, ce qui devait ne pas
s'oublier est là devant nous. Le souvenir reprend toute sa place, et plus encore, chargé de toutes ces années de silence, de ce temps passé chacun de son coté. On peut bien sûr disparâitre comme
ça, laisser le temps nous enfouir, nous jeter hors des autres.
Et on est là face à soi-même, on jette des pans entièrs du passé, fleurs fânés, larmes sêchées.
Cet ami qui dit que le soleil est un pays, un continent qui se pose sur nous chaque matin. Lui, cet ami luit à midi jaune comme à minuit noire..