Je ne sais pas ce qu'on peut faire. Exiger la révocation de ce toubib ? Je ne sais pas. C'est encore une de ces discriminations qu'on voit au quotidien, en lisant la presse. Celle-la aurait échappé à ma sagacité si ma mère ne m'en avait pas informé. Richard est presque mon cousin germain (ça ne vous regarde pas mais pour faire court : c'est le fils du compagnon de la soeur de mon père).Je parle souvent de l'hôpital dans le blog parce que j'ai un âge où un tas de proches y font des séjours desquels ils me rapportent un tas d'anecdotes très utiles pour en faire des billets dénonçant la mauvaise gestion de l'hôpital par la droite. Cette fois, je peux difficilement mettre la connerie de ce toubib sur le dos du gouvernement.Qu'il se débrouille tout seul pour assumer la honte qui devrait être la sienne. Il a juste refusé de soigner un patient. J'espère que le conseil de l'ordre saura prendre les mesures qui s'imposent et que la justice le condamnera comme il se doit. On pourra pardonner aux toubibs des erreurs médicales : ils ont un métier "à risque". Mais comme c'est leur métier de soigner des gens, qu'ils connaissent le handicap, on ne pourra pas leur pardonner une telle discrimination.
Je ne sais pas ce qu'on peut faire. Exiger la révocation de ce toubib ? Je ne sais pas. C'est encore une de ces discriminations qu'on voit au quotidien, en lisant la presse. Celle-la aurait échappé à ma sagacité si ma mère ne m'en avait pas informé. Richard est presque mon cousin germain (ça ne vous regarde pas mais pour faire court : c'est le fils du compagnon de la soeur de mon père).Je parle souvent de l'hôpital dans le blog parce que j'ai un âge où un tas de proches y font des séjours desquels ils me rapportent un tas d'anecdotes très utiles pour en faire des billets dénonçant la mauvaise gestion de l'hôpital par la droite. Cette fois, je peux difficilement mettre la connerie de ce toubib sur le dos du gouvernement.Qu'il se débrouille tout seul pour assumer la honte qui devrait être la sienne. Il a juste refusé de soigner un patient. J'espère que le conseil de l'ordre saura prendre les mesures qui s'imposent et que la justice le condamnera comme il se doit. On pourra pardonner aux toubibs des erreurs médicales : ils ont un métier "à risque". Mais comme c'est leur métier de soigner des gens, qu'ils connaissent le handicap, on ne pourra pas leur pardonner une telle discrimination.