Raymond Barre s'est donc barré comme le titrait ce matin, A2N, dans un mémorable article...
Aujourd'hui, il est difficile de dire qui sera plus important, entre l'ancien Premier-ministre et le marin pêcheur qui a eu l'honneur posthume de voir le Président assister à ses obsèques.
Cet esprit libre, comme le reconnaît par ailleurs le Président dans son communiqué élyséen lui rendant hommage, était un très grand homme, n'en déplaise à certains judéomanes mal léchés.
Je suis surpris de voir placardé dans certains sites de journaux, le surprenant "ses dérapages" antisémites. OK, désigner par son nom les manoeuvres parfois grossières de certains Noirs, c'est être négrophobe. Passons.
Nicolas Sarkozy est donc au pied du mur. Entre accepter le diktat et les injonctions du CRIF, par une voltige probablement mensongère en prétextant par un n'importequoitisme puéril un rendez-vous pris de longue date.
Son absence aux obsèques de cet amoureux de la France serait la pire des réponses donnée à tous ces irresponsables qui n'ont qu'un passeport français à faire valoir, oeuvrant en fait pour un pays étranger. C'est dit.