Alors que les rejets de dioxines provenant des Usines d‘incinération des ordures ménagères, les UIOM, sont passées, selon le Centre interprofessionnel techniques d’études de la pollution atmosphérique de 1895 g par tonne traitée en 1993 à 117 g en 2007 , tout nouvel projet d’installation est contesté par la populations.
Toutefois, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, le BRH, vient de publier deux études nationales qui ne relèvent pas d’impact sanitaire majeur des incinérateurs, en montrant une faible corrélation entre l’augmentation du risque de cancers et l’exposition à la dioxine, alors que les UIOM restent toujours suspects aux yeux de la population.
Bien que le nombre d’incinérateurs est passé entre temps en France de 300 à 128 , notre pays en comporte encore le plus grand nombre en Europe.