Une présentation de InLibroVeritas par son fondateur Mathieu Pasquini qui a été mise en ligne hier. Puisque c'est équitable, c'est que c'est bon. Sous licences Creative Commons, on télécharge à volonté et on peut acheter en papier (le modèle économique). N'essayez pas sur le Sonyreader ou un autre lecteur que votre ordinateur, c'est pas bon du tout. Près de 10000 textes, 1100 auteurs, c'est l'océan. "L'ADN du droit d'auteur, l'oeuvre appartient à celui qui la paye, il en fait strictement ce qu'il veut, c'est non-négociable." OK, comme il dit, on laisse sa chance à tout le monde. Téléchargez-moi, téléchargez-moi... Alors, à l'arrivée, de ce côté-ci de l'écran, quoi lire dans tout ce fatras? Il faut se perdre, en effet. Le petit moteur "recherche", oui, mais chercher quoi? J'ai essayé ce qui me passait par le tête sans trop de succès. On sait pas trop à quoi se raccrocher, les plus appréciées (on s'en doutait), le top-20 (c'est pas celui de l'Express, c'est clair), l'auteur-phare de la maison (non ce n'est pas un roman sur la Polynésie). Bon, il y a forcément des pépites, mais comment les trouver? Ce qui me dérange le plus, c'est cette confusion entretenue dans les esprits entre mise à disposition et édition. Pour preuve, il y a deux éditeurs seulement, égarés.
Bien entendu, InLibroVeritas est tout sauf une maison d'édition, c'est une plateforme de diffusion numérique et d'impression à la demande (auteurs rémunérés de leurs oeuvres à 10%, rien que de très classique).