Le très eurosceptique président tchèque Vaclav Klaus, dont le pays préside l’UE, a laissé plané l’incertitude jeudi sur le fait de savoir s’il parapherait le traité de Lisbonne, adopté la veille par les députés de son pays à une courte marge.”Je ne suis pas prêt à vous répondre” sur le sujet, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Bruxelles, en faisant valoir que si le texte avait été adopté par les députés tchèques, il devait encore l’être par le Sénat du pays.
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