" Quand j'écris un roman, je ne pars jamais d'un plan détaillé. J'ai en tête deux choses : le début et la fin. Et tout ce qui vient au milieu ne compte pas. C'est du jazz, de l'impro... Travailler avec un plan, c'est comme travailler avec un patron, un patron qui vous dit ce que vous devez faire. Et ce patron, franchement, je m'en passe très bien ! "
Michael Connelly : entretien dans le n° 21 de Transfuges ( mai-juin 2006 )link
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