Le sommet social a été l’ocasion pour Nicolas Sarkozy de faire un coûteux effort en direction des foyers les plus modestes, mais le président, “droit dans ses bottes”, reste fidèle à son choix initial d’une relance par l’investissement, observe jeudi la presse française.Didier Pourquery estime dans les colonnes de Libération que “ça patine à l’Elysée”, avec un Nicolas Sarkozy qui “campe sur ses positions: investissement, réforme et travail.”
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