"On est en train de creuser la dette dans notre pays, il ne faut pas se raconter d'histoires" a déclaré le premier ministre, après les 2,6 milliards d'euros lâchées par Sarko aux partenaires sociaux.
Fillon ne faisait pas la fine bouche et ne tenait pas du tout ce discours lorsque 10 milliards ont été refilés aux banques sans contrepartie, ou presque 8 milliards dernièrement pour l'industrie automobile (en leur demandant gentiment d'arrêter de délocaliser là où la main d'œuvre est moins chère).