Votre empire s'écroule
Comme un château de cartes
Et mon encre écarlate
Se réjouie de ces houles
Je n'ai aucun écu
Dans vos banques ruinées
Je suis même amusé
Par vos mines abattues
Mais je me fais colère
Quand l'état sans égard
Distribue des milliards
Dans la crise boursière
Ne vous réjouissez pas
Car le fossé se creuse
Mais les gueux et les gueuses
Ne digèrent pas ça
Profitez bien ainsi
De vos derniers instants
Puisque arrive le temps
De plus graves soucis
Nous sommes des millions
D'anticapitalistes
Préparant les prémices
De la révolution
Ne m’en veuillez pas si mes visites sur vos blogs se font rare, mais en ce moment je suis débordé.
Je pense très fort à vous.
Michel.