notes

Publié le 18 février 2009 par Lironjeremy
« Chaque immeuble s’impose comme une pure présence depuis laquelle se déploie l’étendue, un formidable sentiment d’être au monde. Les façades dressées comme des tableaux au long du périphérique vous renvoient à vous même dans un raccourci fulgurant. Vous flottez en dedans un vieux et lancinant Dylan. Deux tours mornes par dix ou douze étages épinglent le ciel : des menhirs. Depuis ces quelques points se déploient nos vertiges. Le réel fait fiction. » Exposition Jeremy Liron 5- 26 mars à Thionville.