“C’est une grève perlée et active”, explique Joëlle Prungnaud, professeur de littérature comparée, qui avec d’autres enseignants-chercheurs de Lille 3 proteste contre le décret de réforme de son statut en faisant cours “hors les murs” dans un café.Alors que résonnent un blues de Bo Diddley et le sifflement du percolateur, l’enseignante égrène le calendrier de travail de son séminaire à ses étudiants en Master 2, qui l’écoutent religieusement.
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