La défense de Jean-Charles Marchiani au procès de l’Angolagate a tourné mercredi au panégyrique d’un “homme de missions au service de la France”, libérateur de pilotes en Bosnie et émissaire de la paix en Angola.Bras croisés, les yeux levés vers le plafond pour échapper aux louanges déversés par son avocat Me Jacques Trémolet de Villers, l’ancien préfet du Var, sorti de prison lundi, comparaissait libre pour la première fois depuis le début de ce procès fleuve le 6 octobre 2008.
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