Entendu à la radio, après la publication de la (très controversée) carte militaire, en juillet 2008 : « On ne pourra trouver de repreneurs, pour les sites laissés par l’armée, sans une dépollution préalable des terrains, mais on ne pourra entreprendre cette dépollution onéreuse, sans une garantie préalable de trouver des repreneurs