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Ce n’est pas un rêve, ni un communiqué de presse daté d’il y a plusieurs années, mais bien la success-story McDo « en temps de récession ».
Entend-t-on pour autant cette histoire ? Pas dans la bouche de McDo, tout au plus dans celle de certains journalistes, soulignant l’apparente incongruité de cette bonne santé « par les
temps qu’on vit ».
McDo tient un autre discours : celui de la campagne « Venez comme vous êtes » qui, en quelque sorte, raconte également une histoire, vive, fraîche, d’ouverture. Tous pour un
(McDo), un (hamburger) pour tous. Mais de cette croissance spectaculaire, McDo n’en fait pas une histoire.
Pourquoi ? Demandez-vous sur quoi repose cette success-story.
Réponse : sur les prix bas des produits McDo, qui renvoient à la problématique du pouvoir d’achat, et à celle de la récession, donc.
Dans une histoire, il n’y a pas que la fin qui compte, il y a aussi le début.
Un autre exemple de storytelling d'entreprise américaine : Harley : une histoire d’Amérique .
Text in english :
Thousands of jobs throughout Europe in the coming years, hundreds of new restaurants…
This is McDonald’s success-story during our recession times.
But do McDonald’s tell this particular story ? Nope. Some journalists do.
McDonald’s tells another story : the “come as you are” one. A quite different one.
Why ?
McDonald’s economic successes lie on something which is not very positive : low prices. Low prices tell the story of recession which makes only low-cost food affordable for a bunch of consumers.
So, McDonald’s is right : in a story, the beginning counts no less than the end.