Banqueroute mondiale : alerte noire

 

Je ne suis ni économiste, ni politologue, ni énarque et c'est justement peut être pour çà que j'arrive à sortir le nez du guidon et surtout je prends le temps de glaner sur le net à la recherche d'infos qui me semblent pertinentes.

Encore une fois, on tient le citoyen en muselière par une info intox et continue (voir les articles sur les « merdias ») : on guide sa pensée (trust de l'information) par une info incessante, le citoyen s'est laissé domestiquer par son écran TV et ce qu'il y a derrière (tête pensante), drogué du 20h00 !

Allez simplement faire un tour sur les sites boursiers ou d'informations économiques et prenez le temps de lire simplement les titres et vous comprendrez alors qu'on est sur la pente raide d'un gouffre dont on ne voit pas le fond : abyssal !

Prenez le temps de décortiquer le dernier plan de relance des USA.

A peine validé, pas encore appliqué et déjà analysé : pour beaucoup d'économistes, les milliards de dollars ne suffiront pas pour avoir une effet significatif sur l'emploi.

Conclusion : cette crise ne peut pas se résoudre par un coup de baguette magique de quelques centaines de milliard de dollar surtout quand ils ne sont pas mis là ou il faudrait !

Allez, ne désespérons pas, tout est fait pour prolonger l'agonie d'un monde qui court à sa ruine (ou plutôt qui est déjà ruiné depuis longtemps, mais chose étrange on ne s'en rend compte que maintenant, allez savoir pourquoi).

Allez, citoyen tiens bon, il y a un moment difficile à passer. Dans cette tempête sans précédent (remarquez aussi que la météo se déchaîne pas mal ces temps ci), la seule façon de s'accrocher aux branches et de tenir bon dans cet ouragan de niveau supérieur à l'échelle en vigueur sera probablement la solidarité que les personnes auront entr'elles : l'aide, l'entraide, le service, c'est gratuit c'est parce que c'est gratuit (le pognon çà finit par tout pourrir, il en faut quand même pour vivre mais attention il peut devenir dangereux pour l'homme; à utiliser avec prudence) que c'est probablement une solution possible à notre désarroi.