A la sortie de la visite présidentielle à Val d'Isère, seules deux candidatures semblaient connues du Chef de l'Etat pour les JO 2018 : Nice et Annecy.
Grenoble et Pelvoux n'ont pas du apprécier les remarques présidentielles tant leurs noms étaient rarement cités face à Nice et, dans une moindre mesure, Annecy.
Et pourtant, il y a une autre décision qui mérite une attention : la candidature de la France pour l'euro 2016 de football.
Bernard Laporte s'est officiellement engagé pour la réussite de ce challenge.
Avec la logique de fait de "justice répartitive" qui anime les choix des grandes compétitions sportives, il parait difficile d'imaginer la France organisant deux compétitions de ce type à deux ans d'écart ?
Il est vrai que, pour 2018, la candidature de Munich parait tellement forte ...