Que tout cela nous serve au moins de leçon et que nous réfléchissions enfin à un plus juste partage des fruits de… la récession. D’ailleurs, voyez, tout cela se met doucement en place: on parle d’une nouvelle répartition des bénéfices précisément au moment où les bénéfices fondent, d’un autre partage des richesses quand il n’y a plus de richesses. Moins il y a de bénéfices, et plus on les partage. C’est malin.
Olivier Zilbertin