La plupart des fêtes qui émaillent notre vie sont imposées par la tradition et les coutumes. Il faut fêter les anniversaires, les enterrements de vie de garçon, les mariages, Pâques, Noël, la fête des mères, des pères, la Saint-Valentin… Pendant les fêtes, la coutume nous impose la musique, parfois les plats : du gigot, des crêpes, de la dinde, des œufs au chocolat, du champagne. L’Église a toujours utilisé ces fêtes pour encadrer la vie de ses ouailles et marquer les grandes étapes du calendrier. D’autres ont été montées de toute pièces par les colporteurs, les chocolatiers ou les fleuristes.
On peut se poser de légitimes questions sur le bienfondé de ces fêtes collectives, rigides et artificielles. Pourquoi continuons nous de suivre bêtement ce calendrier des réjouissances imposées ?” Pourquoi devons-nous êtres joyeux et nous gaver de petits fours quand on nous le dit ? Faut-il être aliéné pour être à ce point obéissant ? Prenons la Saint-Valentin. Faut-il réellement attendre le 14 février pour être gentil avec sa compagne ou son compagnon ? Faut-il attendre le signal du départ pour acheter un bouquet de fleur acheté chez un grossiste avant d’aller faire un repas aux chandelles caricatural. Quand j’ai envie de faire la fête et passer du bon temps avec des amis, je n’attends pas les grandes fêtes du calendrier. À la rigueur, si vous voulez absolument fêter quelque chose, vous pouvez aller sur la liste des fêtes nationales et trouver la fête la plus proche. Aujourd’hui, il y avait la fête nationale du coup d’état de 1977, sinon, le 16 il y a la fête nationale de Lituanie et la Gambie le 18.
more about “BombayTV ::: Sous-titrez votre films …“, posted with vodpodAllez, dernier cadeau de la Saint-Valentin, de plus en plus romantique…
Observez ce regard glauque à force d'abus éthyliques.